Il gagne 1000€/mois net d’impôts en plus de son salaire !

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Nicolas a travaillé pour différentes entreprises de sous-traitance. Ces dix dernières années, entre les négociations de rupture conventionnelle de contrat de travail, les indemnités légales et les sommes reçues aux Prud’hommes, il a gagné environ 120 000 €. En plus de son salaire et des allocations versées par les Assedic, il a ainsi gagné 1 000€ par mois, net d’impôt.

Dans son livre, il explique en détail les raisons qui l’ont poussées à lancer des procédures contre ses anciens employeurs et comment il a réussi à gagner contre eux.


Nicolas, auteur du livre

Nicolas a grandi en Île de France et y a fait ses études. Après son service militaire dans la Police Nationale, il a cherché un poste de commercial dans la plasturgie, sa formation d’origine.

Hélas, il est victime de malhonnêteté de la part de ses collègues et de harcèlement par ses supérieurs.

À trois reprises, il saisit le conseil des Prud’hommes et gagne contre ses adversaires !

En écrivant un livre sur ses propres expériences, il tenait à rendre service aux salariés qui subissent les mêmes désagréments qu’il a endurés. Il donne ainsi ses conseils et les stratégies à adopter dans ce genre de situations.

Extraits du livre :

“J’ai été convoqué dans le bureau de la direction qui m’a menacé de me licencier si je ne changeais pas.
J’ai répondu que je considérais comme légitime ce que j’avais fait. Ils ont vu que je ne me soumettrais jamais.”
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“J’ai donc travaillé vingt-et-un mois et, entre les indemnités légales de départ, la prime supra légale et le jugement en appel des Prud’hommes, cela a donné : 31 000 + 23 000, c’est-à-dire 54 000 €, soit 2 500 € net par mois de présence, en plus de mon salaire.
Ces plus de 50 000 € récupérés auprès de cette entreprise m’ont soulagé parce que j’y avais vraiment souffert !”
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“J’ai passé trois jours en Alsace d’où je suis rentré en fin de semaine. J’avais reçu un mail de mon futur chef qui me demandait un rendez-vous téléphonique et j’avais accepté.
Je pensais qu’il allait me parler de la nouvelle organisation pour la France. Au lieu de cela, il m’a annoncé qu’on allait arrêter ma période d’essai après presque six mois dans l’entreprise.
J’étais sous le choc, je ne m’y attendais absolument pas.”
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“Plus vous coûtez cher à licencier, plus vous avez de chances de garder votre poste (mais cela ne vous donne pas pour autant la sécurité de l’emploi).
Un cadre supérieur de 58 ans, bien payé, coûte bien plus cher à licencier qu’un jeune salarié au SMIC.”

Comment gagner aux Prud’hommes ou à la rupture conventionnelle du contrat de travail est disponible sur Amazon, kobo et Google livres.

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